Réunion du 4 juillet 2017 à Paris
Collectivités réunies : Besançon, Le Havre, Lille, Lyon, Nanterre, Nantes, Nice, Nîmes, Paris, Poitiers, Rouen, Strasbourg, Toulouse, Troyes, Villeurbanne.
Ordre du jour :
- Les politiques municipales de logement étudiant
- Pactes stratégiques ou conventions avec les universités
Documentation utile :
- Article UT Commission AVUF 04 07 2017
- Les VIZ+ offre des Crous pour les Villes
- Parcours de vie étudiants àBesançon
Réunion du 16 décembre 2016 à Toulouse
Lieu : Hôtel de Métropole du Grand Toulouse
Collectivités réunies : Besançon, Le Havre, Grand Nancy (par skype), Nantes, Nîmes, Pessac, Toulouse.
Travaux sur les dispositifs de consultation, concertation et d’encouragement à la citoyenneté étudiante; les actions des Villes contre les conséquences de l’alcool en soirées étudiantes et les coopérations entre Villes, Universités et Crous pour dynamiser la vie du campus.
Quelques conclusions :
- L’intérêt de valoriser toutes les formes de soutien de la collectivité à la vie étudiante par la collectivité (ex à Nantes : 1,4 M€/an, hors tarifs bonifiés);
- La possibilité de constituer une gouvernance locale souple sans formalisation (ex à Besançon : aucune convention entre Ville, Université, Agglomération et Crous, mais 27 actions communes , grâce à des RDV mensuels auxquels chaque institution participe avec assiduité).
- Les Schémas d’Amélioration de la Vie Etudiante semblent constituer une opportunité de déclenchement de coopérations efficaces, mais seulement si les collectivités sont associées dès le diagnostic, et pas seulement en bout de course, comme le prévoient les textes aujourd’hui.
- Pour prévenir les risques liées à la sur-consommation d’alcool pendant les fêtes étudiantes, la formation des organisateurs (ex :les responsables de BDE) est un élément clef de succès.
- La réussite de ces actions de prévention pourrait être mesurée avec de nombreux indicateurs d’une année à l’autre (ex :les achats d’alcools par les BDE, le nombre d’interventions des forces de l’ordre ou des urgences) mais cette mesure ne semble pas avoir été engagée, sans doute parce que les acteurs constatent d’eux-même l’impact positif de leurs actions.